Vendredisques : édition du 17/07/2015

Vous pensiez que j’avais oublié vos cages à miel ? Bon, j’avoue : il s’en est fallu de peu, trop occupé que j’étais à finaliser le 11ème épisode de mon DJ set mensuel Blended & Baked que vous pourrez découvrir dès cette nuit, à cette adresse, shameless plug, tout ça. Mais en attendant, comme chaque semaine, micro-sélection de trois morceaux à (re)découvrir.

Herrmann & Kleine – Wonder
Album : Our Noise (2002)

On va commencer par une mauvaise nouvelle : le duo, composé des producteurs allemands Christian Kleine et Thaddeus Herrmann, a malheureusement « splitté » en 2005 et ne compte qu’un seul album à son actif, Our Noise, dont je vous propose de découvrir ici un extrait. Leur style est assez indéfinissable, oscillant entre trip hop un peu sale, electro expérimentale, avec parfois des indices de Boards of Canada. Si vous aimez leur univers, n’hésitez pas à poursuivre le voyage via les 2 EP du duo : Transalpin et Kickboard Girl (ainsi que l’inédit Leaving You Behind (Without Knowing Where To Go disponible sur la compilation d’hommage à Slowdive, Blue Skied An’ Clear).

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Braids – 13
Album : –

Ha ben super : voilà que je vous titille avec un morceau introuvable. Bon, pour être tout à fait honnête, il paraitrait qu’une version studio de ce 13 (rebaptisé Sweet World) existerait et devrait voir le jour officiellement tout bientôt. Mais comme je trouvais qu’il représentait une porte d’entrée idéale pour découvrir ce groupe américain, je n’ai pas pu m’empêcher de vous le balancer malgré tout. Originaire de la scène d’Alberta, Braids produit une pop électronique, sucrée et éthérée comme j’aime, articulée autour de la voix délicieuse de Raphaelle Standell-Preston. Si vous aimez, rejouissez-vous : il y a déjà trois albums à découvrir.

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Jon Hopkins – Form By Firelight (with Raphaelle Standell)
Album : Asleep Versions (2014)

Et on ne quitte pas la délicieuse Raphaelle Standell, puisqu’on la retrouve sur cet EP de versions « ambient » de morceaux de l’album Immunity de Jon Hopkins. Quatre titres au programme, tous plus planants les uns que les autres et sans doute un bon moyen de s’initier à l’univers ultra-riche du bonhomme. A noter aussi sur cet EP, l’excellente plage d’ouverture en compagnie de King Creosote, alias Kenny Anderson, dont je vous reparlerai tout bientôt.

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On se retrouve dès vendredi prochain pour une nouvelle sélection ! Des bisous !

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