Into the Breach : la fondue de neurones c’est délicieux !

Into the Breach, c’est le nouveau bébé des créateurs de Faster Than Light. Ce duo a passé quatre ans à développer un jeu qui doit pouvoir fonctionner dans une smartwatch. Car techniquement, ce titre est aussi peu gourmand que son aîné. La puissance de calcul, c’est votre cerveau qui va la fournir. Et j’espère que vous avez un bouton overclocking qui fonctionne !

Into The Breach Banner

Cette news est une honte. Un scandale. Ne faites jamais ça sur votre site. C’est anti-capitaliste et le monde n’est pas prêt. Je vais vous dire, dès l’intro, d’aller lire ce test parfait de notre ami Gautoz chez Gamekult. Il a pensé à tout, même à la musique. Il faut dire qu’on retrouve une fois encore Ben Prunty pour sonoriser cette perle, et ce mec est insupportable de talent. Non, vraiment, essayez Cipher pour bosser, c’est juste parfait.

Into The Breach Gameplay

Non, ça ne va pas faire chauffer les cartes 3D. Oui, on s’en cogne. De toute façon y’a plus de cartes 3D sur le marché, elles sont toutes réduites en esclavage pour miner de l’or virtuel…

Vous savez donc maintenant que ce titre à base de gentils pixels s’offre un 9/10 sans forcer. Et c’est mérité. Plutôt que de paraphraser, insistons sur quelques points :

  • Le jeu ne coûte que 12,69 euros (c’est précis) sur GoG, avec l’Advanced Edition de FTL en cadeau si vous acheter ItB avant le 6 mars.
  • Ça ne fonctionne que sous Windows (7, 8 et 10) pour le moment mais Subset Games a annoncé dès le départ des versions macOS et Linux, comme pour FTL.

Si votre truc, c’est de construire des palissades en bois en sautant pendant des heures pour éviter un headshot, forcément Into the Breach ne va pas vous passionner. Mais si vous aimez mettre à l’épreuve vos petits neurones, vous avez votre drogue de 2018.

Vous devriez également aimer…