Akai MPC : histoire d’une boîte magique

Passée sous pavillon américain depuis la faillite de la maison mère japonaise au début des années 2000, la marque Akai véhicule toujours une aura particulière chez les musiciens fans d’instruments modernes. La création de la MPC (Music Production Center) en 1988 révolutionna la façon d’aborder le sampling et la composition. Notre ami Daz a écrit un long papier sur son expérience et son amour de cette machine, qui me donne l’occasion de linker plein de choses parfaites pour s’instruire un vendredi.

MPC 3000 BannerCommençons par le commencement : les 16 000 signes de Daz sur son amour du bébé. Je vous conseille également la lecture des pages Wikipedia linkées dans l’intro, qui font au passage réaliser que InMusic Brands possède maintenant pas mal de marques importantes dans son giron…

Le morceau de choix qui va faire groover votre vendredi, c’est l’excellente vidéo de Vox que Daz a déniché. Consacrée au modèle MPC 3000 de 1994 et à J Dilla, c’est une mine d’information superbement réalisée. Quand on sait le taf que demande ce genre de production, j’applaudis à quatre mains. Honnêtement, toute la série Earworm mérite votre attention.

De quoi comprendre comment cette petite machine et quelques génies ont fait évoluer en quelques années l’approche de la composition, comme les trackers l’ont fait pour d’autres musiciens.

En prime, ça donne l’occasion de linker cette monstrueuse playlist de 28h, qui regroupe 353 titres samplés par J Dilla avec sa MPC 3000. Pour écouter le résultat, je peux vous donner deux pistes : cette playlist de Spotify ou une autre composée de morceaux moins connus.

Happy Friday!

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